Si le second tour des élections municipales est organisé en septembre, faudra-t-il, selon vous, modifier la loi électorale pour tenir compte des évolutions intervenues depuis le premier tour ?
Si son département est rouge, on se sentira stigmatisé ; s'il est vert, on aura le sentiment que la vigilance n'est plus de mise. Comment pourrions-nous faciliter la compréhension de ce classement par les élus locaux et nos concitoyens et éviter les jugements trop hâtifs ?