Madame la rapporteure, on ne peut indéfiniment se réfugier derrière des avis scientifiques, d'autant qu'ils ont pu être contradictoires. Ils justifieraient aujourd'hui de surseoir à la réouverture de ces établissements. Ce n'est pas raisonnable ! Agissons en responsabilité comme les cafetiers et les restaurateurs se trouvent prêts à le faire s'ils s'estiment en mesure de garantir la sécurité sanitaire de leurs clients. Eux seront libres de s'y rendre ou non.
Nous sommes en train de tuer ce pan de notre économie, essentiel en outre pour permettre aux chauffeurs routiers de conserver une hygiène à la fois sanitaire et alimentaire.