Pour le Quai d'Orsay, il n'est pas nécessaire de coordonner les modalités de report des élections consulaires sur celles des élections municipales. Des contraintes d'organisation plus lourdes justifient de fixer une date de scrutin stable ; en outre, le retroplanning de 90 jours pour le décret de convocation des collèges électoraux rigidifie le processus. Décaler les élections d'un an, de date à date, permet de mieux maîtriser le calendrier. Avis défavorable.