La rédaction que je propose signifie non pas que le CESE doit évaluer toutes les politiques, mais qu'il accorde la priorité aux évaluations qui paraissent les plus importantes.
Par ailleurs, à la différence du rapport, la conférence n'existe pas. L'échange entre les présidences des instances qui réalisent ces évaluations semble un enjeu non négligeable pour aller vers une telle coordination et une culture partagée.