Un rectificatif tout d'abord : on ne peut pas, en commission des Lois et alors que nos débats sont suivis, laisser dire que le préfet est garant des libertés publiques. C'est très grave et très choquant ; cela rappelle des périodes noires de notre histoire. Il y a dans notre pays une autorité judiciaire et c'est elle qui est garante de nos libertés.