Le dispositif que vous critiquez n'est en rien discriminatoire. Il vise, au contraire, à protéger les territoires d'outre-mer, particulièrement vulnérables dans le contexte épidémique. Nous poursuivons le même objectif. À titre d'exemple, la Guyane est l'un des principaux déserts médicaux du pays. L'agence régionale de santé (ARS) locale a dû recruter 250 médecins étrangers pour faire face à l'épidémie.