Vous comparez la Corse au Président de la République, monsieur Questel ? Ce n'est pas raisonnable ! En outre, ne faites pas dire à ce texte ce qu'il ne dit pas : il ne s'agit aucunement de supprimer les prérogatives présidentielles. Vous avez le droit d'être en désaccord avec notre proposition, mais je n'accepte pas que vous la travestissiez.