En tant que femme politique, en tant que députée, je voudrais que l'on parle de ce que je dis, de mes arguments, et qu'il n'y ait pas de commentaires sur des comportements ou des attitudes. Monsieur le garde des Sceaux, cela fait plus de dix ans que je suis députée de la République française. Il est de coutume, dans l'hémicycle, comme en commission, de claquer des doigts simplement pour appeler l'attention de la présidence, lorsque l'on demande la parole.