Je suis assez triste de la teneur de nos débats, qui sont assez inhabituels dans notre Commission, où nous menons habituellement un travail de fond, serein, parfois agité mais jamais sur les personnes et toujours sur le sujet. Il est dommage que nous en soyons là aujourd'hui. C'est aussi un manque de respect vis-à-vis des 150 citoyens qui ont travaillé et à l'égard du débat que nous devons à cette question très importante. Je respecte le texte des citoyens. Je l'amende parce que je suis parlementaire et que j'ai un certain nombre de préoccupations sur plusieurs de ces sujets. Alors que les débats partent dans tous les sens, j'aimerais que nous essayions de retrouver un peu de sérénité et de travailler sur le fond au lieu d'être dans l'invective. Il est regrettable que les effets de la période électorale se fassent sentir dans notre débat.