En effet, l'amendement CL2 semble réintroduire le principe de non régression. Il est possible de supprimer la dernière phrase et de s'en tenir à un socle, d'autant que celui-ci est propre, non pas seulement à la France ou à l'Union européenne, mais à l'humanité. Il reprend l'Agenda 2030 et les objectifs du Millénaire pour le développement, que nous défendons.
Contrairement à l'avis de Julien Aubert, ils ne sont pas étrangers à l'esprit de la Constitution. Ils ancrent la France dans une dimension planétaire, ces sujets étant traités au sein de l'ONU, par l'Agenda 2030 et les dix-sept objectifs du millénaire pour le développement.