Je suis surpris de l'amendement de Mme Ménard. Nous parlons de thérapies dont certaines sont qualifiées d'actes de torture, de sévices psychologiques et physiques : comment pourrait-on pardonner une chose pareille, même demandée par la personne concernée ? Il est possible que celle-ci ait formulé cette demande parce qu'elle était manipulée. Il faut être très prudent. Cet amendement est inacceptable. J'essaie de vous l'expliquer, Madame Ménard, car je ne vous crois pas de mauvaise foi à ce sujet.