On ne peut pas parler de liberté de choix à propos d'un mineur vivant dans le cadre familial, soumis à l'autorité parentale et à la pression quotidienne que ses parents peuvent exercer sur lui au nom de pratiques sectaires ou d'une morale dépassée. Pour un jeune majeur, la pression sociétale joue aussi : s'il a l'impression d'être repoussé par son entourage, il peut en venir à consulter l'un de ces fameux thérapeutes.