Les amendements en discussion et ceux qui les ont immédiatement précédés montrent que les parlementaires jouent leur rôle, qui est de déterminer comment faire face à cette pandémie.
Nous savons que les zoonoses, c'est-à-dire les maladies qui se transmettent des animaux vers les hommes, ont été multipliées par dix en cinquante ans. La pandémie actuelle est certes exceptionnelle par son ampleur, mais d'autres zoonoses se produiront à l'avenir – et le phénomène s'aggravera malheureusement si rien n'est fait pour mieux respecter l'environnement.
Dans ces cas-là, nous ne voulons pas que le Gouvernement et le Président de la République décident de tout. Le Parlement a son mot à dire, et ces amendements vont dans le bon sens.