Heureusement qu'on peut en rire – je ne parle pas des sportifs frontaliers qui subissent cette situation mais de l'inconséquence des règles qu'on applique dans ce genre de cas. Elles sont ridicules.
Je suis tout à fait d'accord avec la volonté de nos collègues de régler ce problème, mais je crains que la façon dont ils veulent le traiter, en créant une nouvelle règle, n'apporte pas de solution. Face à un effet de bord, on va en effet décaler le dispositif et créer un autre effet de bord : il faudra que la course se déroule au sein d'un groupement de coopération de coopération territoriale. Que se passera-t-il si elle est à cheval sur deux territoires ?