Mon amendement traite d'un problème crucial et concret qui concerne de jeunes apprentis en zone frontalière : si leur organisme de formation se trouvait à Strasbourg, par exemple, leur entreprise ne pouvait pas être de l'autre côté du Rhin, ce qui les privait de débouchés. Brigitte Klinkert, qui siège au comité de coopération transfrontalière, a donc essayé de voir avec vous, madame la ministre, et avec la ministre du travail, quelle pouvait être la solution. Une mission de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) a permis d'y travailler. Ces amendements visent à clarifier la situation. Les perspectives de croissance de l'apprentissage transfrontalier présentent un réel intérêt pour nos jeunes.