Je suis partagé. C'est un sujet qui détermine notre humanité, la crise récente l'a montré – la mort a parfois été traitée de manière administrative.
Le droit funéraire a besoin d'être réformé en profondeur et je ne suis pas sûr que le travail d'un sénateur, fût-il M. Sueur, suffise pour exprimer notre vision collective. L'évolution de la législation ne peut pas être laissée entre les seules mains du spécialiste du Sénat et de notre rapporteure, quelles que soient leurs qualités. L'Assemblée nationale dans son ensemble doit se saisir pleinement de ce sujet de société.