Nous étions dans l'hémicycle où, visiblement, certains députés avaient envie de travailler et d'autres, d'arrêter. Certains avaient conscience de l'urgence à agir pour les Françaises et les Français ; d'autres, non.
Faute de volonté du Sénat de se doter de mesures pour gérer la phase actuelle de la crise sanitaire, et face à des tentatives permanentes de coups politiques politiciens, nous avons levé la CMP et acté son échec. Le dernier mot reviendra donc à l'Assemblée nationale. J'espère que chacune et chacun aura à cœur d'agir avec responsabilité et de ne pas rechercher en permanence le coup politique politicien.