Le rapport de 2011 de la commission des affaires sociales avait relevé l'importance du contexte économique et social sur le développement des RPS, la peur du chômage étant un facteur aggravant. Comment expliquez vous le développement des RPS dans une administration comme l'Assemblée nationale, où les fonctionnaires bénéficient d'une plus grande stabilité que dans une enteprise privée ? Je n'inclus pas dans ce constat les collaborateurs des parlementaires, qui sont contractuels, le plus souvent pour cinq ans.