Intervention de François Rampin

Réunion du mercredi 13 février 2019 à 13h30
Groupe de travail sur les conditions de travail à l'assemblée nationale et le statut des collaborateurs parlementaires

François Rampin, SPAN‑ :

Ce que nous constatons, c'est plutôt de la souffrance au travail que du harcèlement qualifié. Et le recours naturel est le cabinet médical, et pas du tout le service des Rressources humaines, ce qui peut sembler surprenant. Les raisons ont été évoquées : la structure de la maison fait que le pouvoir ne réside pas au service des Rressources humaines, y compris pour les simples affectations. Vous imaginez donc pour le reste.

Cela s'explique aussi parce que les secrétaires généraux dépendent eux-mêmes du Bureau de l'Assemblée. Vous avez insisté sur le fait qu'il y avait des changements d'orientation selon les présidents successifs. Il faut avoir ces éléments en tête, sachant que vous êtes 577 employeurs et nous sommes 1 021 employés, ce qui situe le rapport de forces.

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