Nous n'avons établi aucune doctrine contre les essais d'hydroxychloroquine portés par la médecine de ville ou les médecins généralistes. Il y en a eu, comme vous le verrez dans la liste que je vous communiquerai. Peut-être que des analyses émanant de comités de protection des personnes (CPP) ou de l'ANSM ont considéré que certains ne pouvaient être menés à leur terme.
Je veux rassurer les patients sous hydroxychloroquine : l'autorisation de mise sur le marché (AMM) est assortie d'indications qui se justifient. Une alerte de l'ANSM et des autorités européennes portant sur des automédications a conduit une réévaluation de la pharmacovigilance. Mais je vous donnerai une réponse plus précise sur la décision du 15 janvier.