Quel était l'état des débats, non seulement politiques mais aussi scientifiques, au lendemain de l'épidémie de grippe H1N1 ? À titre personnel, considériez-vous qu'on en a trop fait ? Quelle était la teneur des controverses scientifiques ? Au cours de la dernière crise, on a vu que les affrontements entre de grands professeurs pouvaient mettre le décideur en difficulté.
Enfin, en tant que président de région, quel jugement portez-vous sur le fonctionnement des ARS, sur la manière dont elles ont travaillé avec vous, et sur leur articulation avec les préfectures ? L'un des premiers foyers épidémiques s'étant trouvé dans l'Oise, comment, de votre point de vue, a-t-il été géré ?