Je travaille en HAD. Je ne suis pas infirmière mais sage-femme, j'ai donc vu des patientes covid qui étaient plutôt en forme, dirons-nous.
Ce que dit M. Youinou est vrai. Il a été mis en place, en catastrophe, une organisation ad hoc de prise en charge de patients en fin de vie, compte tenu du nombre de patients âgés qui étaient malades, mais selon un circuit que nous n'avions pas imaginé jusqu'alors. En HAD, il faut qu'un médecin voie le patient, que l'entrée soit préparée, que toutes les prescriptions soient là, qu'on ait un dossier, un accord du patient ou de la famille. Là, des GIR ont été établis.