Par l'instruction précautionneuse de la Direction générale de la cohésion sociale. Nous l'avions interrogé sur la responsabilité pénale des directeurs. Imaginons un directeur qui autorise un salarié positif à travailler, qu'il soit en contact d'un autre salarié ou d'un résident et que ces derniers attrapent la maladie et en meurent. La famille pourrait porter plainte. Qu'en est-il alors de la responsabilité de l'employeur ?
Nous avons perçu la difficulté du ministère de la santé à nous répondre. L'instruction était assortie de multiples précautions : il fallait que le salarié soit volontaire, asymptomatique, protégé, que ses activités ne soient pas trop de proximité avec les résidents. Mais, concrètement son application en était très difficile.