Les médecins libéraux qualifient la gestion de la crise de « fiasco », critiquent son hospitalo-centrisme, sont peu amènes sur la façon dont ils y ont été associés. J'estime que tout un pan de l'urgence sanitaire, et notamment la question du renoncement aux soins, ne figure pas dans la loi que nous avons votée sur l'état d'urgence sanitaire. Comment anticiper ce qui représentera un coût de santé publique à court terme ? Quelle est votre appréciation sur le fonctionnement de la PDSA, notamment en nuit profonde ?