Vous avez dit que la seconde vague était arrivée, qu'elle était prévisible. Pouvez-vous préciser ?
Cette crise est survenue alors que la tension était déjà prégnante dans des services d'urgence saturés, où les patients subissent une maltraitance institutionnelle. Quel niveau d'investissement faut-il pour que l'organisation permette de faire face aux situations ordinaires ?