Pas en réanimation, en effet : les 8 500 modèles sont arrivés fin mai alors que la situation était déjà stabilisée. Toutefois, en cas de seconde vague à l'automne, de survenue d'un virus grippal concomitant d'une épidémie de bronchiolite, – en l'absence d'une telle épidémie au printemps, nous avons heureusement pu utiliser les capacités de réanimation pédiatriques – nous serons contents d'avoir fait fabriquer ces respirateurs, car peu de modèles des autres fabricants ont pu être produits durant la crise.