J'aimerais revenir sur les termes que vous avez utilisés, monsieur Pelloux : la culture du corporatisme, sujet vaste et complexe.
Je vous rejoins sur le fait que le rôle des politiques est d'organiser le travail entre les corporations. Toutefois, nous constatons depuis le début de nos auditions les querelles qui opposent les unes et les autres, querelles stériles et contre-productives car éloignées de la réalité du terrain, et vous y avez, à votre niveau, une part de responsabilité.
J'y vois plusieurs explications : le manque de reconnaissance de chaque corporation, et la démultiplication des interventions dans les médias. Je tiens d'ailleurs à saluer votre franchise quand vous admettez ne pas savoir. Que préconisez-vous pour une meilleure cohésion, et pour que la parole soit un peu plus rare et plus représentative, au service de l'intérêt général ?