Comment la coopération a-t-elle été organisée entre le service de santé des armées, les SAMU et les sapeurs-pompiers, ces derniers ayant indiqué avoir été écartés de certaines opérations de transfert ?
À votre sens, ces transferts de patients étaient-ils indispensables, alors qu'il a parfois été dit que des places en réanimation étaient disponibles à proximité ? Le service de santé des armées a-t-il été consulté sur l'opportunité de réaliser ces transferts ou était-il uniquement chargé de les mettre en œuvre ?