Cet amendement vise à concrétiser dans le code de la sécurité intérieure la décision prise et annoncée par le Gouvernement l'année dernière de supprimer l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ).
La suppression de cet établissement, dont je rappelle qu'il est placé depuis 2009 au sein des services du Premier ministre, n'implique pas une disparition de toutes les missions qu'il exerçait ou des expertises qu'il concentrait dans les domaines de la formation, de la recherche et de l'éclairage des politiques publiques. Il s'agit simplement de repositionner celles-ci dans les ministères au sein desquels elles sont les plus utiles, tout en permettant des économies de coûts de structure.