Nous reconnaissons tous que la question de l'accès à l'eau est fondamentale. Je ne puis que me réjouir des dispositions de l'amendement même si, comme l'a dit Mme Cariou, il arrive tardivement, au dernier moment. C'est une mesure qui me paraît essentielle. Cela étant, je voudrais rappeler la nécessité de penser à une autre région française, la Guyane, qui occupe la troisième ou la quatrième place dans le classement mondial du volume d'eau renouvelable disponible par habitant. Si la ressource en eau est largement disponible – nous sommes loin de la pénurie et du stress hydrique –, elle n'est absolument pas préservée. Je lance un nouvel appel en faveur de l'accélération de l'action publique dans le domaine de la protection des eaux de la Guyane. Je présenterai certainement un amendement en ce sens en séance publique, qui n'irait pas dans le sens de la simplification, mais concourrait à l'objectif d'accélération de l'action publique.