Les questions seront peut-être un peu d'une autre nature. D'abord, j'aimerais savoir, au regard de l'expérience qui est la vôtre, quel regard vous portez sur les ressorts de cette quête des origines biologiques qui anime celles et ceux qui font appel à vous régulièrement. Et peut-être les différents types de motivation qui viennent animer ces demandes.
Et dans le même ordre d'idée, avez-vous un regard, une analyse sur les motivations qui conduisent à refuser de lever l'anonymat ou finalement à l'accepter ?
Enfin, troisième question, lorsque l'anonymat est levé, qu'est-ce que cela produit ? Comment analysez-vous ce qui se passe après, une fois que vous avez effectué votre travail ? Quel regard portez-vous là-dessus ?
Dernière chose, vous effectuez un travail de médiation important. Vous venez de nous expliquer que, d'après vous, il n'était pas transposable, c'était la dernière question que je voulais vous poser. Peut-être a contrario de ce que vous venez de dire, « la préoccupation beaucoup plus sociale », je reprends vos mots, l'approche sociale qui est la vôtre n'aurait-elle pas une place dans les nouveaux types de questionnements qui nous sont posés ?