Demain, en aucun cas, nous n'allons utiliser des embryons surnuméraires sans le consentement des parents. S'il y a des embryons surnuméraires, plusieurs choix sont proposés aujourd'hui. Il y a soit la destruction, soit le fait de les confier à la recherche, soit éventuellement d'accepter qu'un autre couple puisse en bénéficier. En aucun cas il n'est prévu dans le projet de loi que nous nous affranchissions de la volonté de ceux qui auraient pu être les parents et je ne crois pas que certains de nos collègues l'envisagent.