En réaction à la contribution écrite que vous avez bien voulu nous transmettre, j'ai trois questions. En réponse à l'infertilité sociale, non médicale, et à la souffrance du désir non satisfait d'accueillir un enfant, en quoi la PMA se différencie-t-elle de l'adoption en termes psychanalytiques ? N'y aurait-il pas d'autres formes de fécondité sociale pour les personnes infertiles socialement, afin de s'épanouir ? Enfin, quelle importance auront les mots que nous retiendrons dans le projet de loi en termes psychanalytiques ?