Je suis particulièrement intéressée de vous entendre sur l'insémination post mortem. Comme vous le savez, le projet de loi ne modifie pas l'état du droit. Pourtant, certains, notamment le Conseil d'État, expliquent que l'ouverture de l'AMP aux femmes seules devrait légitimement permettre de l'autoriser en cas de décès du conjoint. J'ai une seule question à vous poser : quel impact substantiel cette situation de deuil pourrait-elle avoir sur l'enfant à naître ?