Ma question sera un peu redondante : les réserves que vous pouviez avoir sur les femmes seules ne remettent absolument pas en cause la capacité d'une femme seule à aimer son enfant, mais interrogent plutôt la construction d'un enfant dans une absence d'altérité, ce qui revient à la question que posait M. Isaac-Sibille. Comme on dit, c'est le classique : « Qui coupe le cordon ? Qui permet la distance à l'égard de la mère ? », que ce soit un amour hétérosexuel ou homosexuel.