Madame Brunet, vous avez évoqué un équilibre atteint par le projet de loi entre les droits des donneurs, des parents et des enfants. Dans quelle mesure cela pourrait-il se révéler contradictoire avec le respect de l'intérêt supérieur de l'enfant ?
Vous avez également dit que la quête des origines est forte de la part des enfants privés de père, qui recherchent leur géniteur masculin. Dans quelle mesure cela pourrait-il justifier de n'appliquer le nouveau processus prévu par le projet qu'aux seuls enfants issus de PMA voulus par un couple de femmes ?