Vous n'avez pas parlé d'un sujet qui est pourtant de plus en plus présent dans la vie quotidienne et pose de plus en plus de questions à la médecine : l'intelligence artificielle. Cela pourrait être une compétence de l'Agence. Les articles 29 et 30 du projet de loi vous semblent-ils assez clairs à ce sujet ? Dans quelle mesure pourriez-vous certifier, labelliser, toute technique, tout procédé, tout acte qu'il soit à visée thérapeutique ou diagnostique, s'appuyant sur l'utilisation de données massives par algorithmes ou par réseaux neuronaux ? Cela pourrait rassurer non seulement les médecins, mais aussi les patients.