Vous avez indiqué donné des informations sur l'évolution des dons de sperme et indiqué et que la situation était compliquée pour les dons d'ovocytes. Vous avez cité une étude britannique. Or les tempéraments, les représentations et parfois les psychologies outre-Manche sont différents. Disposez-vous d'une étude sur la « psychologie du donneur français » ? La crainte de pénurie a aussi été évoquée. Est-elle fondée ? Les délais de prise en charge s'allongeront-ils ?