Je ne sais pas si c'est le bon endroit pour en faire la demande, mais je voudrais insister sur ce que vient de dire Mme Nathalie Massin. Il faut vraiment que nous agissions sur le système éducatif. Cela suppose qu'au niveau législatif, nous fassions prendre conscience aux jeunes femmes de l'altération de la qualité ovocytaire avec l'âge. Lorsque j'en fais l'enseignement, je suis extrêmement étonné de constater que même les femmes ne le savent pas. Certes, il faut l'enseigner aux hommes, mais il faudrait aussi que les femmes le sachent déjà elles-mêmes. Nous devons mettre en place une politique de prévention pour la fertilité, et principalement de la fertilité de la femme puisque c'est celle qui s'altère le plus avec l'âge. Je ne sais pas si vous pouvez intervenir en ce sens au niveau du gouvernement, mais il serait bon que cette notion soit mieux transmise. Cela résoudrait de nombreux problèmes, dont celui du DPI-A par exemple.