Pour la mucoviscidose, les choses se passent en deux étapes. En effet le premier test, à la sueur, utilise des outils de biochimie. Quand le résultat est positif, le dépistage se poursuit d'office – sans revenir vers les parents – par un test génétique. Ce n'est qu'après, si le test génétique est positif, que l'on entre dans la problématique du diagnostic, de l'information et de la prise en charge des parents, de l'information de la parentèle. La génétique n'intervient donc qu'en deuxième intention. Ce que nous proposons, c'est que la génétique puisse intervenir en première intention.