Je voudrais vous lire l'alinéa : « La personne dont les gamètes ou les tissus germinaux sont conservés […] consent par écrit à la poursuite de cette conservation. Si elle ne souhaite plus la maintenir, elle consent par écrit : 1° à ce que ses gamètes fassent l'objet d'un don […] ; 2° à ce que ses gamètes ou ses tissus germinaux fassent l'objet d'une recherche […] ; 3° à ce qu'il soit mis fin à la conservation de ses gamètes ou de ses tissus germinaux. » Le texte parle bien – en premier, d'ailleurs – du don. Si vous estimez que la communauté médicale ne les utilisera pas, je ne vois pas pourquoi le texte de loi serait médicalement « moins disant » que les médecins éclairés que vous êtes.