Vous dites que tout cela se fait sous le contrôle de l'Agence de la biomédecine et en fonction des lois en vigueur, mais notre objectif est précisément de faire modifier la loi ! Le critère proposé par Mme Genevard mérite d'y figurer. Nous nous insurgeons contre le développement de la marchandisation du corps, y compris en Europe, car ce n'est pas la vision française. Plus que jamais, nous devons réaffirmer notre spécificité : pas de marchandisation, anonymat du don, respect de la vie avant tout, telles sont les règles qui doivent s'imposer et figurer explicitement dans la loi.