Il ne s'agit pas là de limites qui empêchent mais de limites qui protègent. Puisqu'il s'agit d'un droit non opposable, il paraît indispensable de protéger l'enfant à venir. Ayons toujours pour boussole le seul intérêt supérieur de l'enfant : le défendons-nous si nous ne prévoyons aucune évaluation pour s'assurer que l'enfant ne sera pas en situation de vulnérabilité à l'instant de sa naissance ?