Notre sous-amendement n° 1799 vise à préciser que les centres de compétence devront comprendre des représentants des associations de personnes concernées afin que le point de vue de ces enfants devenus adultes soit aussi pris en compte, ce qui répond à la préoccupation de notre collègue Gérard.
Les chiffres de l'assurance maladie montrent que les opérations ont augmenté de 10 % depuis 2006. La tendance est donc à l'assignation forcée dès la naissance plutôt qu'à l'acceptation, ce qui justifie l'interdiction de ces opérations.