On a pu croire en 1994 que le lien biologique était secondaire et que seul comptait l'amour prodigué à l'enfant, mais la souffrance des jeunes issus des dons – qu'il s'agisse du stress ou des effets sur la formation de l'identité – ne peut plus être ignorée aujourd'hui. Il est essentiel de tenir compte de ces témoignages, qui ne vont absolument pas dans le sens des études que vous avez citées, monsieur le rapporteur.