Selon les chercheurs – j'ai échangé avec plusieurs d'entre eux au sein de l'institut Imagine, à l'hôpital Necker –, il faut préciser ce que l'on entend par « qualité » de l'embryon. Il n'y a pas aujourd'hui de consensus scientifique sur ce sujet. Si l'on maintient cette rédaction, une dérive eugéniste est possible. Il faut tout faire pour l'éviter.