Il s'agit de supprimer la deuxième phrase de l'alinéa 48 : « Les membres du couple ou la femme non mariée sont incités à anticiper et à créer les conditions qui leur permettront d'informer l'enfant, avant sa majorité, de ce qu'il est issu d'un don. » Au‑delà du problème technique, l'incitation restant à définir du point de vue juridique, cela pose un vrai problème d'ingérence dans la vie des familles. Voilà une vision assez totalitaire !