L'argument de M. le rapporteur sur le processus d'autoconservation illustre à quel point celui-ci, sans indication médicale, est contraire à l'intérêt même de la femme.
Sans doute devrions-nous réfléchir à une politique publique contre l'infertilité, à laquelle l'autoconservation ovocytaire n'apporte pas de réponse satisfaisante. Les pays anglo-saxons vont en effet jusqu'à développer des stratégies publicitaires afin d'inciter les femmes à y avoir recours car c'est un véritable business. Ce n'est pas ce que nous souhaitons pour la France.