Ne transformez pas mes propos ! Je vous invite à rencontrer les associations Origines et PMAnonyme, et à lire les témoignages qu'elles ont publiés dans plusieurs livres très intéressants. Je répète avec une grande certitude ce que j'ai dit tout à l'heure : la souffrance éventuelle tient à l'absence non pas de lien de parentalité, mais de récit génétique. Les intéressés sont heureux de leurs parents ; cela ne modifie pas leurs relations familiales. L'enjeu est non pas familial, mais individuel. Il a trait à la construction, au récit, notamment génétique.