J'irai dans le même sens. Ce n'est pas parce que nous travaillons sur un texte issu de la Convention citoyenne que ce que nous avons voté dans le cadre de la loi AGEC doit souffrir d'un retard. C'est une question de respect pour le Parlement. Nous acceptons nous aussi, avec joie, de faire partie d'un groupe de travail visant à fixer des dates pour les deux secteurs évoqués par Mme la ministre, notamment le textile, car il y a un vrai problème, et à établir définitivement les modalités. Nous prouverons ainsi aux Français que ce texte n'a pas pour but de retarder ce que nous avons précédemment prévu.